Dans un climat de tensions généralisées, l’économie mondiale semble suivre une mécanique bien rodée. L’histoire semble se répéter à l’identique. À chaque événement majeur, le scénario est le même : annonces-chocs, panique généralisée, négociations précipitées, et accords improvisés. Nous avons connu cela avec le Covid, la guerre en Ukraine, et plus récemment avec la vague de réarmement. Aujourd’hui, c’est autour du protectionnisme américain que l’hystérie collective s’emballe.

Ce phénomène de réaction en chaîne s’accompagne toujours du même climat : une montée soudaine des experts autoproclamés, une surenchère médiatique, et une volatilité exacerbée sur les marchés.

marchés financiers et droits de douane

Hystérie et marchés financiers

 

Un consensus malsain

 

Face à ces secousses, un phénomène revient sans cesse : l’unanimité aveugle. Le consensus de la peur. Dès qu’un sujet prend de l’ampleur, il devient le centre d’attention médiatique, politique et économique. Les plateaux se remplissent d’experts autoproclamés, les réseaux sociaux débordent d’analyses à chaud, souvent improvisées, rarement nuancées. Le discours se standardise. Les opinions se copient. Et très vite, une pensée unique s’impose.

Hier, chacun avait un avis tranché sur les protocoles sanitaires et les vaccins. Le lendemain, tout le monde se disait spécialiste de la géopolitique russe ou de l’OTAN. Puis ce fut au tour des analyses militaires, des budgets de défense, des stratégies d’armement. Aujourd’hui, la vague protectionniste réveille soudainement une génération d’économistes improvisés, experts du commerce international, du protectionnisme du XXIe siècle et de l’impact des droits de douane sur l’inflation.

Ce phénomène a un nom : l’emballement cognitif. Une forme de mimétisme intellectuel où chacun répète ce qu’il a entendu sans prendre le temps de l’analyse. Le problème, c’est que cette cacophonie crée une illusion de certitude. Plus une idée est répétée, plus elle semble juste. Mais elle ne l’est pas forcément.

 

Ce climat crée du bruit.

 

Pour l’investisseur, c’est un terrain glissant. Car ce climat crée du bruit. Beaucoup de bruit. Un bruit qui masque les signaux fiables. Un bruit qui rend illisible la véritable dynamique des marchés. L’émotion prend le dessus sur la raison. L’instantané remplace la stratégie. Et le long terme disparaît sous la pression de l’immédiateté.

Dans ce contexte, il devient extrêmement difficile de faire la part des choses. Comment discerner une analyse rigoureuse d’un simple avis sans fondement ? Comment distinguer une tendance de fond d’un effet de mode médiatique ? Comment rester rationnel quand l’irrationnel semble dominer tous les discours ?

C’est dans ces moments-là que l’indépendance intellectuelle devient centrale. Il faut se déconnecter du flux constant d’informations, revenir aux fondamentaux, et réévaluer les situations avec calme et méthode. La gestion de patrimoine ne peut pas s’improviser. Elle ne se nourrit pas de tweets ou de déclarations-chocs. Elle exige du recul, de l’expérience et une lecture structurée des enjeux économiques.

Ainsi, face à la tentation du consensus, il est donc vital de cultiver l’esprit critique. Refuser les vérités toutes faites. Se méfier des certitudes trop bruyantes. Et s’appuyer sur des analyses solides, construites sur des données tangibles, des perspectives réalistes et une vision à long terme.

 

Une volatilité amplifiée

 

Les marchés ne sont pas immunisés contre cette hystérie collective. Au contraire, ils en deviennent bien souvent le miroir. Et lorsque l’émotion domine l’analyse, les indices financiers réagissent avec brutalité. Les tendances s’emballent. Les hausses se transforment en bulles. Et les corrections deviennent des chutes paniques.

Il y a quelques semaines à peine, les valeurs liées à la défense captaient toute l’attention. Dans un contexte d’augmentation des budgets militaires, de tensions géopolitiques accrues, et de discours belliqueux, les investisseurs se sont rués sur ces titres. En conséquence, les actions d’entreprises du secteur ont bondi en quelques jours. Les médias spécialisés multipliaient les articles enthousiastes. Les analystes réévaluaient les objectifs de cours à la hausse. Puis, subitement, plus rien. Silence radio. L’attention médiatique s’est déplacée. Et avec elle, la dynamique boursière.

Le même phénomène s’observe dans le secteur technologique. En effet, en début d’année, les géants de la tech dominaient l’actualité financière. Les « 7 Magnifiques » — ces grandes capitalisations du Nasdaq dopées par l’essor de l’intelligence artificielle — semblaient inarrêtables. Chaque publication de résultats alimentait un peu plus l’euphorie. Les valorisations atteignaient des sommets. Pourtant, quelques semaines plus tard, le vent a tourné. La même presse qui encensait ces valeurs parle désormais de survalorisation, de risque systémique, voire d’essoufflement. Ces entreprises sont passées du statut de locomotives à celui de boucs émissaires.

 

Les algorithmes ne raisonnent pas

 

Cette volatilité excessive n’est pas seulement liée aux émotions humaines. Elle est amplifiée par les algorithmes de trading. Aujourd’hui, une part significative des volumes échangés sur les marchés financiers est gérée par des modèles informatiques. Ces algorithmes ne raisonnent pas. Ils détectent des tendances statistiques et réagissent en millisecondes. Leur logique est simple : suivre le mouvement dominant, l’accélérer et le monétiser. Mais cette logique mécanique a un coût.

Lorsque les marchés montent, les algorithmes amplifient la hausse en suivant le flux acheteur. Lorsque les marchés baissent, ils accélèrent la chute par effet de réaction en chaîne. Ces systèmes n’ont ni mémoire, ni anticipation, ni discernement. Ils ne prennent pas en compte les fondamentaux économiques, la valeur réelle d’une entreprise, ou le contexte géopolitique. Ils réagissent uniquement aux signaux courts, aux volumes, et aux corrélations passées.

Cela crée un environnement instable. Un marché hypersensible, où les mouvements techniques prennent souvent le pas sur l’analyse fondamentale. Un monde où une déclaration politique ou un tweet peut provoquer une correction de plusieurs milliards en quelques minutes.

 

Pour les investisseurs privés, cela renforce la difficulté

 

Il devient plus complexe de lire les marchés avec clarté. Les repères traditionnels sont brouillés. Les réactions sont parfois disproportionnées. Et la volatilité, loin de refléter une évolution structurelle de l’économie, résulte souvent d’un enchaînement automatique de décisions sans logique macroéconomique.

Dans ce contexte, il est impératif de ne pas confondre vitesse et précipitation. Les tendances de fond n’ont pas disparu. En ce sens, les grands mouvements économiques restent dictés par les cycles, les innovations, les politiques monétaires et fiscales. Mais à court terme, il faut accepter que les marchés soient volatils, parfois incohérents, souvent contre-intuitifs.

C’est précisément dans ce type d’environnement que la gestion patrimoniale prend tout son sens. Elle permet de redonner du sens à l’investissement. De construire une stratégie résiliente. De se détacher des fluctuations à court terme pour se concentrer sur les trajectoires durables.

 

La méthode Trump

 

Dans cette ambiance tendue, Donald Trump applique une stratégie désormais bien connue, à la fois simple dans sa structure et brutale dans son exécution. Sa méthode repose sur un triptyque parfaitement maîtrisé : annoncer des mesures extrêmes, provoquer un choc médiatique et politique, puis ouvrir des négociations sur fond de rapport de force déséquilibré.

Ce schéma, il l’a déjà utilisé dans plusieurs dossiers emblématiques. Qu’il s’agisse des relations commerciales avec la Chine, des discussions avec le Mexique sur l’immigration ou encore des pressions exercées sur l’Otan à propos du financement militaire, la logique est toujours la même : pousser l’opposant dans ses retranchements pour le forcer à négocier dans la précipitation.

 

Le but est clair : créer une onde de choc immédiate

 

Concrètement, Trump commence par formuler une annonce tonitruante. Dans le cas présent, il s’agit de l’instauration de droits de douane massifs, parfois absurdes dans leur portée économique ou juridique, mais toujours spectaculaires dans leur formulation. Ainsi, le but est clair : créer une onde de choc immédiate. Faire réagir les marchés. Mettre les gouvernements sous pression. Générer une panique qui désorganise le jeu diplomatique habituel.

Une fois cette pression installée, Trump enchaîne sur la deuxième étape : l’ouverture conditionnelle de négociations. Il ne propose pas d’issue immédiate, mais laisse volontairement entrevoir la possibilité d’un accord pour ceux qui se montreraient « coopératifs ». Cette stratégie, bien que clivante, a l’avantage de redéfinir les règles du dialogue en faveur des États-Unis.

L’efficacité de cette méthode ne repose pas sur la solidité des mesures proposées, mais sur leur capacité à déséquilibrer l’adversaire. C’est une stratégie de tension maximale. En créant l’urgence, Trump oblige les partenaires à sortir de leur cadre classique de négociation. Et à faire des concessions plus rapidement qu’ils ne l’auraient fait dans un processus multilatéral traditionnel.

 

Cette approche trouve un écho immédiat dans les chiffres

 

Cette approche trouve un écho immédiat dans les chiffres : selon l’administration américaine, plus de 50 pays auraient déjà pris contact pour discuter. Certes, tous ne partagent pas les mêmes intérêts ni le même poids économique. Mais le message envoyé par Washington est limpide : la négociation est ouverte, mais elle se fera sur des bases américaines.

Parmi les premiers à réagir, le Japon a été particulièrement proactif. Le pays, soucieux de préserver ses liens économiques étroits avec les États-Unis, s’est rapidement positionné pour ouvrir un canal de discussion direct. Par ailleurs, cette réactivité lui a valu les félicitations publiques de Trump, qui n’hésite pas à récompenser les États « collaboratifs » par des avantages symboliques ou des priorités d’accès.

Ce type de diplomatie transactionnelle, souvent qualifiée de « deal making », brouille les codes traditionnels du commerce international. Elle contourne les institutions multilatérales comme l’OMC. Elle court-circuite les processus lents et les compromis équilibrés. Et surtout, elle place les pays face à un dilemme : entrer dans la négociation selon les termes de Trump, ou risquer de subir des mesures punitives unilatérales.

 

Cette approche génère une incertitude majeure

 

Pour les investisseurs, cette approche génère une incertitude majeure. Car si la méthode est désormais connue, ses effets restent difficiles à anticiper. Chaque annonce peut provoquer une réaction disproportionnée sur les marchés. Chaque retournement de position, une reprise tout aussi violente. Ce climat d’instabilité empêche toute lecture claire à court terme.

Il devient donc essentiel de replacer ces événements dans une perspective plus large. Les droits de douane proposés ne sont pas une fin en soi. Ils sont un levier de négociation. Un outil politique utilisé pour obtenir des concessions. Dans cette optique, la stratégie de Trump n’est pas un programme économique structuré, mais un moyen de créer une dynamique favorable aux intérêts américains.

 

Le cas chinois

 

Mais le vrai cœur du dossier reste la Chine. Ce pays cristallise l’essentiel des tensions commerciales et diplomatiques actuelles. Depuis plusieurs années, les relations sino-américaines se sont détériorées sur tous les fronts : technologique, militaire, stratégique… et bien sûr commercial.

Officiellement, Pékin affiche une position de fermeté. Les autorités chinoises répètent qu’elles refusent de négocier sous la menace et dénoncent une approche agressive, contraire aux règles du commerce international. Ce discours se veut protecteur, rassurant pour l’opinion intérieure, et fidèle à l’image d’une Chine souveraine, qui ne cède pas à la pression.

Mais officieusement, des discussions ont déjà commencé. Des contacts discrets ont été établis entre hauts fonctionnaires. Des allers-retours diplomatiques ont eu lieu. La réalité est plus nuancée que le discours officiel. Car malgré sa posture, la Chine sait parfaitement à quoi elle a affaire. Elle connaît la méthode Trump. Elle en a déjà fait les frais lors de son premier mandat. Et elle en a tiré des enseignements.

 

Les enjeux économiques sont encore plus importants

 

La différence, cette fois, réside dans l’intensité du rapport de force. Les enjeux économiques sont encore plus importants. Les désaccords se sont durcis, notamment sur les questions technologiques et de propriété intellectuelle. Les ressentiments mutuels sont profonds, ancrés dans des années de tensions, de sanctions croisées et de guerre d’influence.

La Chine a conscience qu’un affrontement frontal serait coûteux. Pour son économie. Pour sa monnaie. Pour ses marchés financiers. Elle est déjà confrontée à un ralentissement de sa croissance, à une crise immobilière systémique, et à des tensions démographiques de long terme. Dans ce contexte, un choc commercial avec les États-Unis serait un facteur de fragilisation supplémentaire.

 

L’administration Trump ne veut pas non plus aller jusqu’au clash total

 

Mais de son côté, l’administration Trump ne veut pas non plus aller jusqu’au clash total. Un conflit commercial de grande ampleur aurait aussi des répercussions négatives sur les entreprises américaines, sur les marchés, et sur les consommateurs. À l’approche d’une échéance électorale, cela pourrait devenir un handicap politique.

Ainsi, les deux puissances avancent sur une ligne de crête. Chacune affiche sa fermeté. Chacune cherche à préserver son image. Mais toutes deux savent qu’un compromis sera inévitable. Même partiel. Même temporaire. Ne serait-ce que pour éviter une guerre commerciale destructrice aux effets incontrôlables.

Les négociations seront longues, tendues, parfois interrompues. Elles progresseront par à-coups. Mais elles auront lieu. Car au-delà des postures, la réalité économique impose ses règles. Et aucun des deux camps n’a intérêt à faire exploser l’édifice mondial du commerce, déjà fragilisé par des années d’instabilité.

 

L’Europe veut négocier

 

L’Europe, elle, avance avec prudence. Consciente de sa relative fragilité dans l’échiquier mondial, elle prépare des contre-mesures, mais sans brutalité ni effet d’annonce. Son objectif n’est pas la confrontation, mais la recherche d’un équilibre diplomatique. Bruxelles privilégie la négociation, dans un cadre multilatéral, en espérant éviter une escalade aux conséquences imprévisibles.

Chaque mesure est soigneusement calibrée, autant pour protéger ses intérêts économiques que pour ne pas compromettre des relations transatlantiques déjà sous tension. L’Europe sait qu’un conflit commercial frontal avec les États-Unis serait doublement risqué : économiquement, en fragilisant ses exportations et sa compétitivité ; politiquement, en révélant ses divisions internes et son manque de poids face aux grandes puissances.

C’est pourquoi sa stratégie repose davantage sur la désescalade contrôlée que sur la riposte immédiate. Elle cherche à maintenir son statut d’acteur diplomatique crédible, capable de dialoguer à la fois avec Washington, Pékin et les autres partenaires stratégiques.

De nombreux autres pays adoptent une posture similaire. Dans un contexte de tensions globales, chacun tente de préserver ses marges de manœuvre, tout en évitant de s’aliéner l’une ou l’autre des grandes puissances. Tous évoluent dans un jeu international où les règles sont souvent imposées par les plus forts. Et dans ce jeu, l’objectif n’est pas d’imposer, mais d’exister.

 

Quelle attitude adopter ?

 

Dans un tel contexte, il est essentiel de garder la tête froide. Ne pas céder à la panique. Ne pas suivre la foule. Ne pas hurler avec les loups. Il faut continuer à suivre ses convictions. Même lorsque le marché semble crier l’inverse. Même lorsque les « bruits » sont assourdissants. La première règle est de préserver une diversification intelligente. Répartir ses investissements permet d’absorber les chocs et d’éviter les mouvements trop brusques sur son patrimoine.

Il ne faut pas céder à la panique suite à la baisse du secteur de la tech et maintenir une exposition à à l’intelligence artificielle, à la robotique et aux nouvelles technologies de manière plus globale. Ce sont des secteurs volatils, certes, mais les perspectives de long terme restent solides. La baisse actuelle offre d’ailleurs des points d’entrée intéressants.

Pour sécuriser une partie de ses avoirs, les fonds structurés à capital garanti à échéance, comme notre fonds Equitus XIII, constituent une solution adaptée. Ils offrent un cadre protecteur tout en permettant de capter une part de performance.

Enfin, il faut rester lucide : d’autres secousses viendront. L’environnement international reste instable. Les élections américaines approchent. Les tensions géopolitiques sont nombreuses. Et les banques centrales n’ont pas dit leur dernier mot.

 

Une stratégie de long terme

 

La gestion de patrimoine, dans ce type de contexte, repose sur une stratégie claire et cohérente. Elle exige de la méthode. De la discipline. Et une capacité à ignorer les tempêtes passagères. Il est tentant de suivre la tendance. De céder à la panique. De vendre ce qui baisse. D’acheter ce qui monte. Mais c’est rarement la bonne solution. Il vaut mieux s’en tenir à une vision long terme. Adapter sa stratégie aux fondamentaux. Rester fidèle à ses objectifs patrimoniaux.

 

Conclusion

 

Les épisodes d’hystérie collective ne sont pas nouveaux. Ils reviennent régulièrement. Et à chaque fois, ils testent la capacité des investisseurs à garder le cap.

Aujourd’hui comme hier, la seule véritable erreur serait de céder à la panique. Il faut rester maître de sa stratégie. S’ancrer dans le réel. Et ne jamais perdre de vue ses objectifs. Le bruit est temporaire. La méthode, elle, reste la meilleure alliée du long terme.

Disclaimer :


Les informations contenues dans cet article sont fournies à titre informatif et pédagogique. Elles ne constituent en aucun cas une recommandation personnalisée d’investissement, ni un conseil financier, juridique ou fiscal. Chaque situation patrimoniale étant unique, nous vous invitons à consulter un conseiller professionnel avant toute décision d’investissement. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures, et tout investissement comporte un risque de perte en capital. Centaure Investissements ne saurait être tenu responsable de toute décision prise sur la base de cet article.

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