L’année 2023, bien qu’elle ne soit pas terminée, restera dans les mémoires comme une année marquée par divers vents contraires pour les placements. Les principaux facteurs étant une inflation encore significative, une hausse violente et rapide des taux d’intérêt jusqu’en septembre, la guerre en Ukraine, la crise bancaire et une euphorie en trompe-l’oeil sur les marchés actions lors du premier semestre. Hausse sanctionnée rapidement par une baisse significative sur les mois d’août, septembre et octobre ce qui a rendu les opportunités difficiles à identifier pour l’investissement de l’épargne. Par ailleurs, une crise immobilière peut-être sans précédent s’est amorcée, entraînant avec elle tout un pan de l’économie.
Un risque de liquidité qui pèse plus que jamais
Enfin, la pierre-papier et les supports monétaires acquis ces dernières années inquiètent aujourd’hui fortement les acteurs et les autorités financières telles que l’AMF. En effet le risque de liquidité pèse plus que jamais aujourd’hui sur les marchés. Rappelons que le risque de liquidité pour une banque ou une SCPI par exemple, correspond au risque de ne pas être en capacité à faire face aux demandes de rachats massives à court terme.
Une première alerte sérieuse a donné le ton sur ce sujet avec les faillites de quelques banques américaines au printemps dernier. Il est important de noter que la hausse brutale des taux a fait dévaloriser, parfois extrêmement fortement, les obligations acquises par d’innombrables acteurs de la finance, alors que les taux étaient encore à zéro, voire négatifs. La dépendance à l’argent « gratuit » et à la complaisance monétaire de la part des banques centrales a un prix qui devra se payer tôt ou tard.
En conséquence, autant dire qu’établir une stratégie en vue de se positionner sur les solutions d’épargne et d’investissement les plus performantes dans un tel contexte n’était pas chose facile depuis le début de l’année.
Quelle tendance pour l’épargne fin 2023 ?
Il y a six mois, le CAC 40 atteignait un record historique à 7 581 points
D’autant plus qu’il y a six mois, le CAC 40 atteignait un record historique à 7 581 points. Mais un CAC 40 élevé ne reflète pas la réalité de l’ensemble des marchés financiers. Effectivement, d’un côté, les cinq principales valeurs (LVMH, Hermès, L’Oréal, STMicroelectronics et Stellantis) ont capté presque tous les flux d’investissement au détriment des autres valeurs. De l’autre, la performance des entreprises du CAC 40 n’a pas ou que très peu performée depuis le mois de janvier. Ainsi, ce sont les quelques sociétés françaises du luxe, des nouvelles technologies et de l’énergie qui ont permis à l’indice d’atteindre ces sommets.
Par ailleurs, outre-Atlantique, ce phénomène d’hyperconcentration de la hausse se démontre également. Et pour cause ! Imaginez que la progression de l’indice S&P 500, qui regroupe 500 entreprises, a principalement progressé grâce à sept sociétés seulement. Elles sont surnommées les « Magnificent Seven » (Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft, ainsi que Nvidia et Tesla). Néanmoins, cela confirme que l’investissement dans les nouvelles technologies bénéficie d’une excellente visibilité, même si cette thématique est sensible à la volatilité avec, de temps à autres, de « gros trous d’air » possibles.
Pause des deux côtés de l’Atlantique sur les taux d’intérêt
Toutefois, en ce début novembre, les cartes semblent être rebattues avec la pause instaurée des deux côtés de l’Atlantique par les banques centrales sur les taux d’intérêt. Ce changement s’est traduit par un rebond des marchés actions, soldant la semaine 44 comme l’une des meilleures de l’année. Mais une différence est notable cette fois-ci, car enfin, les thématiques du luxe et des nouvelles technologies n’ont pas été les seuls vecteurs de hausse comme c’était le cas depuis dix mois. Paradoxalement, certaines valeurs du luxe (LVMH, Pernod Ricard, Hermes …) ont (ponctuellement) subit une baisse spectaculaire ces dernières semaines.
Cette nouvelle donne se traduit également par un début de baisse des taux d’intérêt longs. Ces derniers sont fonction de l’offre et de la demande et fixés par les marchés. Ainsi, c’est la suite logique du franchissement du pic sur les resserrements monétaires américains et européens qui se confirme, comme évoqué le mercredi 1er novembre par la Fed.
Quelle tendance pour l’épargne fin 2023 ?
La croissance de l’économie chinoise est finalement revue à la hausse
Certes, la croissance de l’économie chinoise est finalement revue à la hausse pour 2023 et 2024. D’autre part, la banque centrale américaine a toujours les cartes de l’avenir des marchés en mains. Mais les investisseurs ont tendance à voir aujourd’hui » le verre à moitié plein « . De ce fait, ils se concentrent sur les points positifs plutôt que sur la géopolitique ou sur les problématiques économiques liées aux taux élevés.
Donc, après quelques mois de baisse conjoncturelle des marchés (le CAC 40 de 7 580 points à 6 800 points est passé en six mois et était encore à 7 400 points il y a deux mois et demi), certaines solutions d’épargne se présentent aujourd’hui comme des évidences et de réelles opportunités se distinguent dans cet environnement économique et financier complexe.
Quelle tendance pour l’épargne fin 2023 ?
Il convenait de « faire le dos rond »
En résumé, il convenait de « faire le dos rond » depuis quelques mois et être patient, faute de visibilité. En effet, il est toujours utile de rappeler que la décision de « ne pas bouger » plutôt que d’arbitrer, voire de modifier des allocations disposants de bons fondamentaux peut être lourd de conséquences. Nous remarquons très fréquemment que les épargnants qui réagissent de manière excessive aux nouvelles économiques en modifiant leurs allocations d’actifs font généralement une erreur dont il se rendront compte ultérieurement. Et tout investisseur devrait savoir qu’il n’est pas recommandé de réaliser de potentiels arbitrages ou même d’investir ou de désinvestir uniquement en fonction de l’actualité.
Quelle tendance pour l’épargne fin 2023 ?
Il est toujours extrêmement difficile pour ne pas dire impossible de savoir « quel est le bon moment ? »
À moins d’avoir une excellente boule de cristal, il est toujours extrêmement difficile pour ne pas dire impossible de savoir « quel est le meilleur moment » pour faire bouger les lignes de son épargne. Et pour cause ! Une étude de JP Morgan AM démontre que sur 10 000 $ investis sur l’indice S&P 500 pendant 20 ans, vous bénéficiez d’une performance de :
- 64 844 $ si vous n’avez jamais arbitré (cela représente quelques crises et quelques passages sous le net investi initial !),
- si vous avez manqué les :
- 10 jours les plus performants durant ces 20 années : 29 708 $
- 20 meilleurs jours : 17 826 $
- 30 meilleurs jours : 11 701 $
- 40 meilleurs jours : 8 048 $
- 50 meilleurs jours : 5 746 $
- 60 meilleurs jours : 4 205 $
- si vous avez manqué les :
Ces chiffres sont parlants et ils mettent en lumière l’importance de rester investi sur le long terme plutôt que de tenter de « timer » le marché, ce qui est souvent contre-productif.
Toutefois, comme lors de chaque période macroéconomique troublée, Centaure Investissements a fait le plein de nouveautés pour vous proposer des solutions d’investissement en lien avec le contexte actuel maintenant que nous disposons d’un peu plus de visibilité.
Quelle tendance pour l’épargne fin 2023 ?
Profiter de l’effet hausse des taux, optez pour les fonds obligataires datés.
Les fonds obligataires datés sont des fonds dont l’échéance est déterminée à l’avance. Non bloqués, ces solutions d’épargne représentent une opportunité d’investissement intéressante en période de hausse des taux, car le marché obligataire propose de meilleurs rendements. Logés dans une assurance-vie dès 1000 euros, ils offrent une visibilité sur les rendements potentiels et mutualisent le risque grâce à la diversité des obligations qui composent le fonds. Ces dernières sont émises par des entreprises dont la notation est corrélée au rendement attendu : mieux une entreprise est notée, moins le rendement espéré sera élevé.
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Bénéficier d’un couple rendement-risque mesuré, rien de mieux que les produits structurés.
Les produits structurés permettent de profiter d’une protection partielle ou totale du capital, tout en bénéficiant d’un rendement attractif. Cependant, un risque de perte en capital existe si le retrait du capital investi s’effectue avant l’échéance du placement. Les produits structurés offrent, dès 1000 euros, de belles opportunités d’investissement dans des actifs variés comme une action, un indice, une matière première, ou même le marché des taux, tout en se protégeant contre la volatilité grâce à des barrières de protection établies lors de la création du fonds. Cette solution d’investissement est à envisager pour une durée déterminée et permet de faire face à l’inflation (4,9 % en septembre sur un an).
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Investir dans le non-coté et échapper aux aléas des marchés
Le Private Equity, accessible auparavant principalement aux investisseurs institutionnels et aux grandes fortunes, se démocratise et propose aux particuliers une thématique d’investissement attrayante pour diversifier leur patrimoine en s’engageant dans l’économie réelle. Que ce soit à travers des Sociétés de Libre Partenariat (SLP) ou des Fonds Communs de Placement à Risques (FCPR), ces structures investissent dans le capital ou la dette privée de PME/ETI à un moment stratégique de leur développement, offrant un fort potentiel de création de valeur. Logée dans une assurance-vie dès 1000 euros, cette classe d’actifs est historiquement performante, avec des Taux de Rendement Internes (TRI) cibles nets souvent situés entre 10 % et 15 %.
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Important :
L’investissement en actions, FCPR, SLP, obligations, ou OPCVM présente un risque de perte en capital notable et devrait être envisagé dans une perspective à long terme, ne représentant qu’une fraction d’un patrimoine global. À l’opposé des fonds en euros, la valeur de ces supports fluctue à la hausse comme à la baisse, réfléchissant la valeur des actifs sous-jacents et est influencée par les variations des marchés financiers.
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Quelle tendance pour l’épargne fin 2023 ?
Chez Centaure Investissements, nos conseillers sont des experts généralistes intervenant sur tous les domaines patrimoniaux :
- Immobilier
- Produits financiers et assurance-vie
- Optimisation fiscale
- Retraite
- Succession
- Prêts
- Assurances
Une relation de confiance qui se tisse avec le client nécessite également des capacités relationnelles très développées. La pédagogie est également une compétence précieuse pour proposer un conseil pertinent, clair ne portant pas à confusion pour l’investisseur particulier.
Toutefois le conseiller n’est pas omniscient. Il ne se substitue pas aux autres experts (notaires, avocats, experts-comptables ou sociétés de gestion). En réalité, il va coordonner les conseils et l’action, occasionnellement, lorsque l’intervention d’un spécialiste est nécessaire pour son client, à l’image d’un chef d’orchestre patrimonial. Par exemple, Centaure Investissements travaille en partenariat avec plusieurs cabinets d’avocats et d’expertises comptables pour accompagner au mieux ses clients en co-construction de la stratégie patrimoniale.
En bref
- Le rôle du conseiller en gestion de patrimoine est d’être le chef d’orchestre de vos finances, et d’une façon générale, de votre patrimoine dans son ensemble, pour vous permettre de concrétiser vos projets et de régler des problématiques patrimoniales.
- Il vous conseille et met en œuvre des stratégies pour y parvenir.
- Son indépendance vous garantit un conseil impartial, personnalisé et orienté vers votre réussite, sans conflit d’intérêt quant aux solutions proposées.
- Pour mieux vous conseiller, il va s’entourer d’autres experts qui vont vous apporter leurs connaissances et ainsi vous donner toutes les clés pour faire fructifier votre patrimoine.
- Enfin, il s’adresse à tout un chacun. Nul besoin d’être fortuné pour prévoir sa future retraite, assurer sa maison, ou encore placer ses économies.
Communication non contractuelle
Les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. En conséquence, l’objectif de performance n’est pas garanti. L’assureur s’engage sur le nombre d’unités de compte et non sur leur valeur qu’il ne garantit pas. Elles s’entendent hors fiscalité et frais de gestion annuels des contrats de capitalisation concernés.
En investissant sur des supports en unités de compte vous profitez du potentiel de performances des marchés financiers, mais vous prenez un risque de perte en capital. L’assureur s’engage sur le nombre d’unités de compte, mais ne garantit pas leur valeur. Celle-ci est soumise à des fluctuations, à la hausse comme à la baisse, en fonction de l’évolution des marchés financiers.
Notez qu’un entretien auprès d’un conseiller est indispensable afin de vérifier que les solutions présentées sont en cohérence avec votre situation. Sachez que la souscription à cette solution prendra en compte les objectifs et le profil d’investisseur de l’épargnant. L’investissement portant sur des supports en unités de compte présente un risque de perte en capital.